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- A LEMBA, UNE JEUNE FILLE EST VIOLEE PAR DIX KULUNA
Les Kuluna ont encore semé la terreur et la désolation dans une famille de la commune de Lemba le jeudi 30 Août 2018. Ces criminels ont fait irruption dans une maison familiale dans la commune de Lemba où ils ont volé tous les biens qui s’y trouvaient. Après le vol des biens, ils ont pris en otage une jeune fille de 28 ans qui vit sur place. La victime a été amenée par ses bourreaux jusques dans une maison inachevée où elle a été violée à tour de rôle par plus de dix personnes. Elle n’a eu la vie sauve que grâce à l’intervention de son oncle, un sportif qui l’a arrachée de ses malfrats. L’oncle a pu maitriser trois de ces hommes tandis que le reste a pris la fuite. Le cas a été documenté par le bureau national de la LIZADEEL., référé pour les soins au centre médical de BADARA et les avocats de la LIZADEEL se chargent de l’accompagnement judiciaire. En ces moment de rentrée scolaire et à l’approche d’importantes échéances politiques, dans notre pays, les services de sécurité doivent prendre des mesures qui conviennent pour prévenir les actes criminels et mettre hors d’état de nuire ces Kuluna car ils constituent un réel danger pour le bien-être et la sécurité des populations de la ville de Kinshasa Sara PANGASUDI
- PARUTION ET BAPTÊME D’UN OUVRAGE SUR LES RISQUES DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES
« Les Risques de prêter sur hypothèques, conseils, stratégies et orientations », est le titre du nouvel ouvrage qui vient d’enrichir l’espace littéraire RD Congolais. C’est dans le cadre des activités de la grande rentrée littéraire de Kinshasa 2018 que cet ouvrage de haute portée scientifique, juridique et économique a été porté sur le fonds baptismaux ce samedi 22 septembre 2018 dans la bibliothèque du Centre Wallonie Bruxelles de Kinshasa. Ce livre de 174 pages se veut être un outil important de prévention et de gestion des contentieux et divers risques liés au recours à l’hypothèque en RDC. C’est un recueil de 53 cas de risques rencontrés sur terrain qui permettront aux lecteurs et aux différents praticiens du droit, institutions financières, créanciers et débiteurs d’éviter les écueils et autres désagréments éventuels en amont et en aval. Dans sa première partie, l’ouvrage s’étend sur le concept « Risque » qui pour l’auteur est une exposition à l’issue incertaine . Quelques propositions y sont faites pour atténuer les risques de crédit tant pour le créancier que pour le débiteur. La deuxième partie du livre aborde une approche pédagogique. L’auteur fait une cartographie des risques opérationnels et élabore une taxonomie pertinente des différents cas de figures. L’auteur établit aussi une relation de complémentarité entre la loi foncière de 1973 et le droit OHADA que le pays a ratifié. En effet, ce livre est le fruit d’un long et laborieux travail de recherche mené par Me Patrick MUMBUMBA NDALA. Cet écrivain est un avocat Près la Cour d’Appel de Kinshasa Matete et expert en droit foncier auprès du cadastre. Ancien conseiller juridique dans une banque de Kinshasa, l’auteur connais les rouages et les méandres de la pratiques de l’emprunt hypothécaire. Il fournit ici des conseils pratiques basés sur des faits réellement vécus. Il se place donc juge et partie mais dans le seul but d’éviter au maximum les conflits liés à l’hypothèques enregistrés dans les cours et tribunaux de la RDC. Le livre a été baptisé par maitre FATAKI WA LUHINDI Défi-Augustin Avocat près de la Cour Suprême de Justice. La manifestation de ce jour a été honorée de la présence de plusieurs juristes et professeurs de droit ainsi que quelques responsables chargés des questions relatives aux crédits et risques de quelques banques de Kinshasa. L’ouvrage est disponible dans les rayons de la bibliothèque du Centre Wallonie Bruxelles de Kinshasa. Bienvenue et bon vent à ce nouveau-né du monde littéraire de la RDC et bonne lecture à tous. Ouvrage à lire, faire lire et surtout à recommander… Sara PANGASUDI “ Info Blog News”
- UN PERE COUPABLE D’INCESTE ARRETE GRACE A LA LIZADEEL
Un père de famille reconnue coupable d’inceste sur sa fille de 15 ans a été arrêté dans la commune de Ngaliema. Le coupable qui a une fille de 15 ans est un homme en union libre avec sa compagne âgée de 30 ans. De leur union sont nés 2 enfants. Cette famille recomposée vivait unie jusqu’au jour où la femme surprendra son compagnon en plein acte sexuel avec sa propre fille de 15 ans. La femme choquée par la scène vécue se décida de quitter la maison avec ses deux enfants. Même après le départ de sa compagne, le père continua d’avoir des rapports sexuels avec sa fille de façon régulière. A cours d’argent, la jeune femme se rend avec les enfants chez leur père afin qu’il s’acquitte de ses obligations financières. Mais l’homme retient les enfants avec lui. C’est alors que la mère désemparée porta l’affaire à la LIZADEEL. Après examen du cas suite aux propos de la femme, les avocats de la LIZADEEL ont réussi à faire arrêter et condamner le père pour viol et inceste sur mineur. Les enfants sont actuellement en sécurité auprès de leur mère. Le cas a été documenté par le CAJEM de la LIZADEEL de Kintambo. Il est triste de constater qu’il existe encore de dangereux psychopathes, capable de commettre l’inceste sur leurs propres enfants mineurs. Ils ne méritent pas de clémence pour pareils actes. Coup de chapeau à la LIZADEEL et tout le collectif de ses avocats, véritable défenseur des droits de l’homme en RDC. Sara PANGASUDI
- UNE FIILE DE 9 ANS VIOLEE SUITE A L’HOSPITALITE DE SA FAMILLE
Un homme âgé de 50 ans pris en flagrant délit de viol d’une petite fille de 9 ans au quartier Kingasani dans la commune de Kimbanseke. En effet, arrivé à Kinshasa en provenance de l’intérieur du pays, l’homme a bénéficié de l’hospitalité d’une famille qui lui a accordé un lieu où dormir. Jouissant d’une confiance totale de la part de ses hôtes, le sale vicieux se mit à abuser sexuellement de l’une des petites filles du foyer d’accueil âgée de 9 ans. Il s’adonnait à cette sale besogne pendant la journée en l’absence des parents pendant plus d’un mois sans attirer le moindre soupçon. C’est finalement le samedi 05 Aout 2018 qu’il a été pris en flagrant délit, nu, en plein acte sexuelle par la sœur ainée de la victime. Choquée par la scène, celle-ci alerta les voisins qui emmenèrent le violeur au sous commissariat de la police du quartier. Grâce à la LIZADEEL, la victime a été référée au Centre de santé du quartier Badara pour des soins et le violeur a été transféré au parquet. Chers parents, ne faites pas confiance à n’importe qui surtout s’agissant de la garde de vos enfants en votre absence. Cette famille a fait les frais de son hospitalité et de sa confiance aveugle en l’endroit d’une personne très peu familière. Sara PANGASUDI
- ENLEVEMENT ET VIOL D’UNE FIILE DE 15 ANS PAR 5 KULUNA
Les cas de viol collectif se font de plus en plus fréquents dans la ville de Kinshasa. Un nouveau cas similaire a été enregistré au quartier Amba dans la commune de Kisenso. Une jeune fille de 15 ans violée par 5 jeunes hommes dont l’âge varie entre 25 et 30 ans. La malheureuse victime est tombée dans une embuscade tendue par ces jeunes hommes identifiés comme étant des criminels ou Kuluna vers 19h alors qu’elle allait acheter de la farine de manioc au coin de son avenue. Après s’être saisi de la jeune fille, ces criminels l’on trainée jusque dans un caniveau. La victime affirme avoir été violée par ces malfrats à tour de rôle et cela de 19 à 4h du matin avec cruauté et sans interruption. Elle a été abandonnée dans ce caniveau par ces violeurs qui se sont échappés après leur forfait. Une plainte a été déposée par les parents de la victime au sous commissariat de la police du quartier. Actuellement la police est à la recherche des violeurs que la victime dit être les jeunes de son quartier. La pauvre jeune fille traumatisée par cet horrible viol a bénéficié de la prise en charge psychologique à la LIZADEEL. Son cas a également été référé par la LZADEEL pour des soins appropriés. Les avocats de la Lizadeel s’activent au côté de la police pour obtenir leur arrestation. Sara PANGASUDI
- ABUS SEXUELS SUR 2 FILLES D’UNE MEME FAMILLE A KINSHASA
Deux filles d’une même famille victimes d’abus sexuels sous le toit familial à Kinshasa, dans la commune de la Gombe. Leur violeur n’est nul leur cousin, Fabrice NSOMPU, âgé de 31 ans. C’est au mois de janvier 2018que débuta le calvaire de ces deux jeunes filles. Ayant perdu tout sens moral, Fabrice NSOMPU transférait des vidéos pornographiques aux deux sœurs. Puis ce dernier passa à la vitesse supérieure en procédant à des attouchements des parties intimes de filles. Les deux victimes ont subi des viols à répétition par leur cousin Fabrice sous le toit familial à l’insu de leurs parents. Elles ont été contraints au silence parce que menacées brimées par leur bourreau. Mais la cruauté du jeune homme sur ses victimes va plus loin. Au mois de mars 2018, il pratique un avortement sur la sœur aînée qu’il a rendu grosse à la suite de viol. Meurtrie, humiliée et déshonorée, la jeune fille perturbée psychologiquement s’enfuit de chez ses parents et choisi l’option du suicide pour échapper au possible rejet de sa famille et de ses proches. Les deux victimes bénéficient de la prise en charge psychologique et médicale de la LIZADEEL. L’auteur de ses actes horribles a été déféré en justice. Son cas fait l’objet d’un suivi judiciaire par les avocats de la LIZADEEL afin qu’il subisse une peine à la hauteur de ses atrocités. Ce triste cas d’abus sexuels devrait inciter les parents à une vigilance et une surveillance accrue sur la nature des relations qu’entretiennent leurs enfants avec les personnes du sexe opposés, membre de la famille élargie ou ami. Veillons à ne pas tomber dans l’excès de confiance ne dit-on pas que la confiance n’exclue pas le contrôle ? Protégeons nos enfants des prédateurs sexuels. Sara PANGASUDI
- SOS pour la construction des Foyers Sociaux Intégrés en RDC
La RDC est un pays post-conflit où les stigmates de la guerre sont encore perceptibles sur un grand nombre de la population. Les violences sexuelles est celles basées sur le Genre sont à inscrire dans le lot des tristes conséquences des conflits armés. Et ce sont les femmes et les enfants qui en paient le plus lourd tribut. Les personnes victimes des violences sexuelles et basées sur le Genre sont très souvent marginalisées et rejetées par la société. Les frustrations causées par le viol détruisent la vie des milliers de femmes et enfants qui ont grandement besoin d’une assistance et d’un accompagnement psychosocial, juridique, médical et économique pour reprendre une vie normale. Malheureusement, la RDC ne dispose quasiment pas de structures d’accueil pour une prise en charge holistique des victimes des Violences Sexuelles et Basées sur le Genre. Mais cette réalité ne doit pas constituer un frein dans le combat pour l’assistance et la réintégration des femmes et enfants victimes des Violences de tout genre. En effet, la mise en place des Foyers Sociaux Intégrés FOSI en sigle est la réponse idéale pour une prise en charge multisectorielle des personnes vulnérables. Dans le cadre son plan stratégique 2014-2018, la LIZADEEL a initiée un Projet de construction et d’implantation des Foyers Sociaux Intégrés à travers les grandes villes du pays. Ces foyers offriront aux filles vulnérables et aux femmes victimes des violences un cadre propice pour recouvrer la dignité humaine et pour la réinsertion socio-économique. Ils seront dotés des paquets de services juridiques, psychologiques et l’hébergement transitoire. Dans les FOSI, les victimes bénéficieront d’un apprentissage et d’une formation professionnelle de qualité pendant environ une année en vue de leur réinsertion dans la vie active. Et le passage d’une survivante des violences au FOSI lui permettra de reprendre confiance en soi afin de reconstruire sa vie sur des nouvelles perspectives prometteuses. C’est fort de son expérience réussi avec son Foyer Social Intégré situé dans la commune de Mont Ngafula à Kinshasa que la LIZADEEL compte dupliquer cette réalisation à travers les chefs-lieux des 26 provinces de la RDC. Le FOSI de la LIZADEEL dans la commune de Mont Ngafula est constitué de 2 bâtiments. L’un abrite le centre d’hébergement transitoire et l’autre le centre de formation professionnelle. Le centre de formation professionnelle organise les filières suivantes : Coupe et couture, Esthétique, Hôtellerie et Alphabétisation. Le centre de transit a une capacité d’hébergement d’environ 50 filles adolescentes et 10 femmes. Plusieurs victimes formées dans ce centre ont été réinsérées dans la vie active. Aujourd’hui elles sont épanouies et gagnent leurs vies en exerçant le métier appris au centre. Il faut certes reconnaitre que la matérialisation d’un projet d’une telle envergure nécessite des moyens financiers colossaux qui ne sont pas à la portée de la LIZADEEL seule. La contribution des personnes et institutions de bonnes volontés soucieuses du bien-être des personnes vulnérables est donc requise. Les fonds investis dans ce projet permettront d’alléger la souffrance des femmes et enfants victimes des Violences Sexuelles et Basées sur le Genre disséminés dans toute la RDC. Voici une main tendue par la LIZADEEL à l’endroit de tous les défenseurs de la cause et du bien-être des femmes et enfants vulnérables de la RDC. Sara PANGASUDI
- CELEBRATION DES 25 ANS D’AMOUR INCONDITIONNEL DU COUPLE KAYEMBE
26 juin 1993- 26 juin 2018, voilà maintenant 25 ans que Julienne et Gode KAYEMBE se sont dits oui devant Dieu et devant les hommes. 25 ans d‘une vie de couple gratifiante et digne d’être considéré comme modèle de stabilité et d’amour. Tout est partie d’une rencontre fortuite chez un ami commun. Mais comme on dirait le hasard n’existe pas, cette seule rencontre a suffi pour planter le décor d’une relation solide qui se réactivera après 6 mois de silence. Et c’est le 26 juin 1994 que l’union de Julienne et Godé sera scellé lors du mariage après une année de fiançailles et 10 enfants naitront de cette union. Dans leur parcours les deux époux ont traversé des orages et des tempêtes. Mais comme l’amour, le respect, la confiance, la sincérité et la crainte de Dieu était le socle de leur relation, rien n’a pu briser ce lien fort qui les unit. Ni les moqueries, ni les difficultés financières n’ont réussi à prendre le pas sur leur engagement commun. Dans leurs difficultés, le couple KAYEMBE s’est approprié du principe que c’est Dieu qui pourvoit au besoin de chacun et de ne pas s’inquiéter du lendemain. Et c’est cette attitude de modestie et de contentement qui leur a valu de nombreuses bénédictions divines. LES CLES DU SUCCES S’exprimant au sujet de sa vie de couple durant toutes ces années, Madame Julienne TSHIBWABWA KAYEMBE avoue que depuis sa jeunesse, elle priait Dieu de lui accorder d’avoir un bon mari, qui l’aimerait et la respecterait. Sa prière a été exaucée car son mari, Monsieur Godé KAYEMBE ne cesse de lui témoigner respect et amour malgré le temps qui passe. « Vivre en couple c’est savoir se supporter mutuellement et savoir pardonner, les querelles et les disputes n’arrangent rien dans un couple. » a-t-elle déclaré. Elle a fait savoir qu’à la fin de chaque année, ils font une évaluation sur l’état de leur vie de famille afin de déceler les écarts de comportements, les rectifier et repartir sur des nouvelles bases. Ces évaluations régulières sont un des éléments de la longévité et de la stabilité de leur couple. Pour Monsieur Godé KAYEMBE, sa femme est une véritable aide semblable pour lui, une compagne de vie. C’est une femme humble, non conflictuelle, une mère attentionnée pour ses enfants comme la femme sage décrite dans la Bible au chapitre 31 du livre des Proverbes. C’est grâce à son soutien inconditionnel que la LIZADEEL existe aujourd’hui malgré les épreuves rencontrées. La LIZADEEL est donc la matérialisation de la synergie des efforts du couple KAYEMBE. Le dicton selon lequel ce sont les femmes fortes qui font des familles fortes s’avère être véridique dans ce cas précis. Affectueusement surnommée la «Reine mère» par ses enfants, Madame Julienne TSHIBWABWA KAYEMBE est décrite comme une mère dévouée, un modèle d’excellence. Cette mère de 10 enfants a toujours été là dans les grands et les petits moments de leur existence. Son amour inconditionnel à leur égard et tous les sacrifices consentis ont touché la corde sensible de leur cœur et ses 5 filles ne jurent que par elle comme modèle pour leurs futurs ménages. Une autre particularité qui fait l’admiration et la force ce de couple, c’est la capacité des deux époux à faire la différence entre leur relation professionnelle et leur vie de couple. Membre active de la LIZADEEL, Madame Julienne, femme très discrète et réservée, se conforme à la hiérarchie et aux règlements de la structure sans faire prévaloir son statut d’épouse du Président du Conseil d’administration de la LIZADEEL. Cette attitude favorise un climat de confiance et la bonne entente avec les autres collaborateurs. Et le Président de la LIZADEEL ne fait pas de favoritisme à son égard ; un bel exemple à imiter. Parcours du couple KAYEMBE en images… Voici l’évolution du couple KAYEMBE relaté en quelques clichés. Le chemin a été long et parsemé d’obstacle qu’ils ont pu surmonter grâce à l’amour et l’aide de Dieu. LES LECONS A TIRER 25 ans de vie commune c’est à la fois peu et beaucoup. Chaque jour vécu ensemble est une nouvelle expérience à capitaliser. Mais le couple KAYEMBE nous donne un modèle à suivre pour avoir une vie de couple aussi longue et enrichissante. Pour avoir un mariage réussi, chacun des partenaires doit s’investir en donnant le meilleur de lui avec abnégation. L’orgueil et la présomption doivent laisser place à l’humilité. La clé du bonheur véritable dans un foyer reste l’amour, le respect, la confiance mutuelle, le pardon et par-dessus tout la crainte de Dieu. Longue vie au couple Julienne et Godé KAYEMBE et que vives vos 25 ans de mariage.
- VIOL ET SÉQUESTRATION D’UNE FILLE DE 13 ANS PAR UN HOMME DE 53 ANS
Une fille de 13 ans a été victime de séquestration et viol à répétition dans la commune de Maluku à Kinshasa. L’infortunée a d’abord subi des violences domestiques de la part de sa tante avant d’être jetée à la rue par cette dernière qui l’accusait de vol. Vulnérable et exposée à toutes sortes de danger en vivant dans la rue, la petite fille a été recueillie par Monsieur KIMBUTA, un chômeur âgé de 53 ans qui se transformera en bourreau et violeur pour elle. Durant 3 mois, la malheureuse victime a été séquestrée et violée à mainte reprise par son hôte. Le cas a été documenté par le CAJEM de la LIZADEEL de Kimbanseke où la victime a bénéficié de l’accompagnement psychosocial. La fille violée a été référée médicalement par la LIZADEEL au centre médical Kimbaguiste de la commune de Lemba. Quant à l’auteur, Monsieur KIMBUTA, il a été arrêté et référé en justice par les avocats de la LIZADEEL. Sara PANGASUDI
- Un enseignant pédophile en cabale à Kinshasa
Auguy PINGA, un enseignant âgé de 35 ans, locataire s’adonne à des actes de pédophilie sur la fille de son bailleur âgée de 9 ans. Le cas a été rapporté par la mère de la victime au CAJEM de la LIZADEEL de la commune de Masina où vivent les concernées. En effet, c’est depuis 2017 que Monsieur Auguy PINGA a des rapports sexuels réguliers avec la petite fille sous la douche, dans sa maison et quelques fois chez les parents de la fille en leur absence. Les parents seront au courant de cette relation honteuse par une lettre écrite par l’incivique à leur petite fille. Actuellement une plainte a été déposée par La LIZADEEL auprès des instances judiciaires pour que Monsieur Auguy PINGA, auteur de ces actes pédophiles en cabale soit poursuivi, arrêté et puni par la loi. Chers parents veuillez à redoubler de vigilance sur vos enfants et sur le type de relation entretenue avec des tierces personnes pour éviter pareil sort à nos enfants. Sara PANGASUDI
- DES MISSIONNAIRES CHRETIENS HOLLANDAIS ASSISTENT LES VICTIMES DES VIOLENCES SEXUELLES
Un culte spécial a été organisé en faveur des femmes et filles victimes des viols et violences sexuelles, le jeudi 21 juin 2018 à l’Eglise Barque de Victoire dans la commune de Ngiri-Ngiri à Kinshasa. Ce culte particulier a été rehaussé de la présence d’une délégation de l’Eglise God Centre venue de la Hollande et d’une importante équipe de la LIZADEEL. La problématique des viols et violences sexuelles est malheureusement le quotidien des milliers des congolais et des congolaises qui ont besoin d’être soutenus et accompagnés pour leur réinsertion au sein de la société. C’est donc pour apporter le soulagement et compatir à la souffrance de ces victimes que les membres de cette église basée en Hollande sont venus à Kinshasa pour prendre la mesure de la gravité de la situation. L’ambiance était particulièrement chargée en émotion à la suite des témoignages des femmes et filles violées par les hommes en armes en provenance du Kasaï. Ces victimes qui ont vécu dans leur chair et dans leur âme la souffrance et l’humiliation causées par le viol n’ont pas laissé indifférents les cœurs sensibles qui ont versé des larmes de tristesse et de compassion pour la circonstance. Une raison d’espérer pour les victimes Les victimes ont été encouragées par l’expérience partagée par l’une des missionnaires hollandaises, elle aussi, victime des violences domestiques et de traumatisme. Pour elle, c’est parce qu’elle a pris conscience que le fait d’être victime de violence n’est pas une fatalité qu’elle a pu se relever et prendre un nouveau départ. Elle a invité ces femmes à ne pas sombrer dans le déni et le rejet de soi. Chaque victime doit s’ouvrir aux nouvelles perspectives que la vie lui offre. Leur avenir dépend de leur réaction face à la douleur. Elle a rappelé aux victimes que la présence de sa délégation à ce culte spécial est le signe de leur volonté de redonner le sourire et l’espoir à chacune d’elle. Et ce message a permis d’apporter une aide psychologique à ces victimes qui se sont senties aimées et valorisées. En effet, les préceptes du vrai christianisme incitent à poser des actes louables en faveur des personnes défavorisées et des plus vulnérables. C’est ce qui a toujours motivé le combat mené par la LIZADEEL depuis plus de 25 ans. Et c’est fort de cette renommée que l’Eglise God Centre de la Hollande a voulu s’allier à la LIZADEEL pour apporter son aide et son assistance aux femmes et filles victimes de viols et violences de tout genre. C’est dans une ambiance fraternelle et conviviale accompagnée de prières et de chants de louange que le culte spécial a pris fin. Sara PANGASUDI
- CAS DE VIOL ET DE SÉQUESTRATION MACABRE A KINSHASA
Les auteurs des viols à Kinshasa n’ont pas encore dit leur dernier mot : une enfant de 13 ans a été séquestrée et violée pendant plus de trois mois par son voisin âgé de 38 ans. Les faits se sont déroulés au quartier Kindele dans la commune de Mont Ngafula. En effet, la petite fille infortunée a fait les frais de sa serviabilité à l’égard du voisin. C’est en acceptant d’effectuer quelques tâches ménagères chez le voisin que ce dernier l’a enfermé dans une des chambres de sa maison sans que les parents de la victime se doutent de quoi que ce soit. Durant toute la période de son supplice, elle a subi un traitement des plus dégradants, dignes d’un autre âge. Son bourreau lui administrait des somnifères et des drogues pour la maintenir dans un état d’inconscience permanent afin de mieux assouvir ses instincts sexuels bestiaux. Après avoir assouvi ses pulsions, le violeur compulsif ira abandonner son « jouet » à Yolo Kapela dans la commune de Kalamu, bien droguée et inconsciente. C’est là que la Croix Rouge l’a retrouvée. Acheminée à l’hôpital Saint Joseph elle y sera traitée et reprendra conscience. Elle a relaté l’ignoble expérience qu’elle a vécue durant plus de 90 jours de séquestration. Actuellement elle est prise en charge médicalement dans un hôpital de la place. Le criminel a été arrêté. Avec l’assistance de la LIZADEEL, le dossier a été transféré au parquet de Kinshasa Gombe où l’affaire est en instruction. Ce fait macabre remet en surface la nécessité du renforcement de la surveillance et de la protection constante des parents sur les enfants. La vigilance policière aussi doit être relevée pour une sécurité de proximité effective de la population afin de venir à bout de ces abus. Nous espérons que la justice sera rendue comme il se doit et que le violeur subira la loi dans toute sa rigueur. Nous devons tous nous insurger contre ces actes odieux qui doivent être sévèrement condamnés afin de dissuader d’autres potentiels violeurs. La guerre contre les viols et violences sexuelles est donc loin d’être terminée. Nous sommes tous appelés à y prendre une part active et soutenue. Sara PANGASUDI