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90 résultats trouvés avec une recherche vide

  • DC : La Cour des comptes juge pour la premiere fois de son histoire deux comptables publics pour faute de gestion

    La Cour des comptes a jugé, ce mardi 7 mai 2024, pour la premiere fois de son histoire, deux comptables publics pour faute de gestion. Il s’agit du comptable public Iyombo Bosengele, du ministère de Finances et de Félicien Mulunganyi, comptable principal des recettes du district de Lukunga. Un troisième comptable public convoqué à cette audience ne s’est pas présenté pour raisons de santé. Ces comptables publics sont concretement poursuivis pour la non transmission à temps à la Cour des comptes des états financiers et pièces qui les accompagnent pour l’exercice 2020, 2021 et 2022. D’après le ministère public, les prévenus ont agi en violation des dispositions 28 et 37 du règlement général sur la Comptabilité publique. Le premier président de la Cour des comptes, Jimmy Munganga, a indiqué que ce procès a un caractère pédagogique. Il a rappeléque le défaut de transmission des états financiers constitue une faute de gestion, punissable d’une amende qui peut approcher le double de salaire brut annuel de la personne mise en cause. « Cette situation empiète à la loi organique de la Cour des comptes dans son article 30, aux alinéas 2 et 4, qui prévoit que les entreprises du portefeuille et les établissements publics transmettent à la Cour leurs comptes annuels dans les trois mois de leur adoption par l’assemblée générale, le conseil d’administration ou l’organe tenant lieu, et la Cour reçoit dans le même délai les rapports des commissaires aux comptes de ces entités », a indiqué le premier président Jimmy Munganga. Dans son réquisitoire, le ministère public a demandé que la peine maximale soit appliquée à ces comptables. Il s’agit, a-t-il expliqué, de leur retirer l’équivalent d’un mois de salaire par mois de retard de transmission des états financiers, conformément à l’article 26 alinea 3, de la Loi portant composition, organisation et fonctionnement de la Cour des comptes. Prenant la parole, les comptables publics ont justifié ce retard par la lenteur administrative qui caractérise toute l’administration publique en RDC. Ils ont demandé à la Cour de les relaxer car ce genre de retard ne se produira plus jamais. Après avoir ecouté les prévenus et le ministère public, les juges de la Cour des comptes se sont dits suffisamment éclairés. Ils ont pris l’affaire en délibéré en promettant de rendre sa décision le 7 juin prochain pour le comptable Iyombo Bosengele, et le 14 juin pour le comptable Félicien Mulunganyi. ADVERTISEMENT. SCROLL TO CONTINUE READING. Soulignons qu’au total 300 compatibles publics seront déférés devant la Cour des comptes, parmi lesquels ceux de la capitale et ceux des provinces. Au cours d’une journée porte ouverte organisée le 14 avril dernier, le premier président de la Cour des comptes a affirmé que seuls 9 entreprises et établissements publics sur 108 ont déposé leurs états financiers pour l’exercice 2023 à la Cour des comptes.

  • Kinshasa-Affaire carburant : Didier Budimbu rassure qu’il n’y a pas pénurie et instruit SEP Congo de poursuivre l’approvisionnement des station-services les nuits et les week-ends

    Didier Budimbu, ministre des Hydrocarbures, fixe l’opinion sur une prétendue cas de pénurie du carburant ce, au regard de longues files d’attente des véhicules pour le ravitaillement en carburant observées ce lundi dans des stations-services de la ville province de Kinshasa. En effet, dans un communiqué rendu public ce lundi 6 mai par la cellule de communication du ministère précité, le ministre Didier Budimbu rassure qu’il n’y pas pénurie du carburant comme l’affirment certaines mauvaises langues. À en croire le ministre Didier Budimbu, cette situation est occasionnée par l’entreprise pétrolière SEP Congo qui avait suspendu l’approvisionnement des station-services les nuits et les weekends. « Cette situation est occasionnée par l’entreprise de logistique pétrolière SEP Congo qui avait suspendu les navettes de ses camions citernes pour l’approvisionnement des stations-services les nuits et les weekends. », précise le communiqué. En définitive, consterné par cette situation, le ministre Didier Budimbu instruit SEP Congo de poursuivre l’approvisionnement chaque nuit et les weekends afin de faciliter le ravitaillement en carburant et éviter de tels désagréments, et rassure la population que la situation se normalise déjà. s/rtnc

  • A LA UNERDC : Le président Tshisekedi reçoit les lettres de créance de quatre ambassadeurs

    Au cours d’une cérémonie protocolaire organisée ce jeudi 09 mai 2024 au Palais de la Nation, le Président Félix Tshisekedi a reçu les lettres de créance de quatre ambassadeurs résidents, extraordinaires et plénipotentiaires nouvellement accrédités en RDC. Il s’agit de Maria Del Carmen Diez Orejas de l’Espagne, Ferchichi Mehrez de la Tunisie, Amir Hosseini de l’Iran et Sekou Camara de la Guinée. La 1ère est aussi ambassadrice de son pays au Congo Brazza et le second, ambassadeur en Angola, en Zambie et en Centrafrique source/rtnc

  • Kinshasa : Le président Tshisekedi « préoccupé » par la lenteur des travaux sur l’avenue Nguma

    Le Président Félix Tshisekedi a effectué mercredi 24 avril 2024 dans la soirée une visite d’inspection des travaux de réhabilitation de l’avenue Nguma située dans la commune de Ngaliema. De Kintambo magasin au Palais de marbre, le Chef de l’État a constaté la lenteur dans la réalisation des travaux et toutes les conséquences que celle-ci engendre entre autres les embouteillages et les dérives des conducteurs. Le Président Félix Tshisekedi a interpellé les entrepreneurs engagés dans ce chantier et a instruit l’Office de voirie et drainage (OVD) à faire diligence afin de soulager la peine des populations des quartiers environnants. Fermée depuis le mois de janvier, l’avenue Nguma est la principale artère permettant aux habitants de quartiers résidentiels de l’Ouest de Kinshasa (Joli parc, Macampagne, UPN, Delvaux, Cité verte, Mama mobutu) d’atteindre le centre-ville.

  • Kinshasa : Le président Tshisekedi « préoccupé » par la lenteur des travaux sur l’avenue Nguma

    Le Président Félix Tshisekedi a effectué mercredi 24 avril 2024 dans la soirée une visite d’inspection des travaux de réhabilitation de l’avenue Nguma située dans la commune de Ngaliema. De Kintambo magasin au Palais de marbre, le Chef de l’État a constaté la lenteur dans la réalisation des travaux et toutes les conséquences que celle-ci engendre entre autres les embouteillages et les dérives des conducteurs. Le Président Félix Tshisekedi a interpellé les entrepreneurs engagés dans ce chantier et a instruit l’Office de voirie et drainage (OVD) à faire diligence afin de soulager la peine des populations des quartiers environnants. Fermée depuis le mois de janvier, l’avenue Nguma est la principale artère permettant aux habitants de quartiers résidentiels de l’Ouest de Kinshasa (Joli parc, Macampagne, UPN, Delvaux, Cité verte, Mama mobutu) d’atteindre le centre-ville. source /rtnc

  • RDC : Le président Tshisekedi reçoit les lettres de créance de quatre ambassadeurs

    Au cours d’une cérémonie protocolaire organisée ce jeudi 09 mai 2024 au Palais de la Nation, le Président Félix Tshisekedi a reçu les lettres de créance de quatre ambassadeurs résidents, extraordinaires et plénipotentiaires nouvellement accrédités en RDC. Il s’agit de Maria Del Carmen Diez Orejas de l’Espagne, Ferchichi Mehrez de la Tunisie, Amir Hosseini de l’Iran et Sekou Camara de la Guinée. La 1ère est aussi ambassadrice de son pays au Congo Brazza et le second, ambassadeur en Angola, en Zambie et en Centrafrique. source/rtnc

  • Corruption à ciel ouvert ou motivation dangereuse ? la justice Congolaise congolaise doit trancher.

    [Issa Freiz K] Scandale de Corruption ou de motivation à Kinshasa : Entre Motivation et Malversation, la Justice au Pied du Mur Kinshasa, République Démocratique du Congo – Un vent de scandale souffle sur la capitale congolaise à la suite de la distribution de véhicules de luxe aux députés provinciaux, deux jours seulement avant les élections cruciales du gouverneur et des sénateurs. Cette affaire, qui met en lumière le secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Augustin Kabuya, soulève une vague d’indignation et de questions sur la frontière entre motivation politique et corruption. Selon les informations rapportées, des jeeps Prado ont été offertes aux députés provinciaux, un geste que M. Kabuya défend comme un "bonus d’encouragement pour stimuler la motivation des élus". Cependant, cette justification ne tient pas la route pour de nombreux citoyens et organisations de la société civile, qui y voient un acte de corruption manifeste, visant à acheter les voix en faveur du parti au pouvoir. L’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) a fermement condamné ces agissements, appelant à une enquête approfondie pour faire la lumière sur cette affaire. L’opposition n’est pas en reste, exigeant des explications claires sur l’origine des fonds utilisés pour l’achat de ces véhicules de luxe et réclamant des poursuites judiciaires contre le secrétaire général de l’UDPS. La population congolaise, déjà éprouvée par des années de lutte contre la corruption, perçoit cet incident comme une trahison des idéaux et valeurs défendus par le parti au pouvoir. Des mouvements citoyens envisagent des actions de protestation pour exiger des mesures fermes contre M. Kabuya et tous les acteurs impliqués dans cette présumée corruption. Dans ce contexte, les regards se tournent vers le Procureur Général de la République et la Cour Constitutionnelle. La crédibilité de la justice congolaise est en jeu : invalidera-t-elle les sénateurs impliqués et le gouverneur élu de Kinshasa ? Répondra-t-elle à l’appel des citoyens pour une justice véritablement indépendante et la consolidation de l’état de droit dans le pays ? Ce scandale, éclatant à l’aube d’une élection capitale, teste la résilience des institutions démocratiques de la RDC et la volonté du système judiciaire de se dresser contre les pratiques qui minent la confiance des citoyens et perpétuent les inégalités. La réponse des autorités à cette crise sera un baromètre de la santé démocratique du pays et de son engagement envers la lutte contre la corruption. La RDC se trouve à un carrefour critique, et le monde observe. La manière dont elle naviguera à travers cette tempête définira non seulement l’avenir de sa démocratie, mais aussi la foi de ses citoyens en la justice et en l’intégrité de leurs dirigeants. contact@pressalert243.com

  • Le Cardinal Fridolin ambongo risque d'aller en prison pour incitation à la violence contre l'Etat

    http://pressalert243.com/2024/04/28/le-cardinal-fridolin-ambongo-risque-daller-en-prison-pour-incitation-a-la-violence-contre-letat/ Dans un développement sans précédent, le Procureur Général près la Cour de Cassation de la République Démocratique du Congo a ordonné l’ouverture d’une information judiciaire à l’encontre du Cardinal Fridolin Ambongo. Cette décision fait suite à des accusations selon lesquelles le Cardinal aurait sciemment violé les consciences, propagé de fausses informations et incité les populations à la révolte contre les institutions établies, ainsi qu’à des attentats contre des vies humaines. Le Procureur Général Firmin Mvonde Mambu a signé un document officiel accusant Monseigneur Fridolin Ambongo, Archevêque Catholique Métropolitain de l’Archidiocèse de Kinshasa, de tenir des propos séditieux lors de points de presse, interviews et sermons. Ces propos seraient de nature à décourager les militaires des forces armées de la République qui combattent au front, et inciteraient à la maltraitance des populations locales déjà éprouvées par des années de déstabilisation. La correspondance révèle que le Cardinal Ambongo a refusé une invitation à discuter de certains dossiers en instruction, ce qui a probablement contribué à la décision du Procureur Général d’ordonner une enquête judiciaire. Le Procureur Général près la Cour d’Appel de Matete est désormais chargé de mener cette enquête, avec un avertissement clair que tout manquement à cette instruction serait considéré comme un acte de complicité et un déni de justice.Cette affaire soulève des questions importantes sur le rôle de l’Église dans les affaires publiques en RDC, dans un contexte où le pays est confronté à des défis sécuritaires et sociaux majeurs. Le Cardinal Ambongo, connu pour ses prises de position critiques envers l’administration actuelle, se retrouve ainsi dans le viseur de la justice. L’issue de cette enquête pourrait avoir des implications significatives pour les relations entre l’État et l’Église en RDC. Les yeux de la nation et de la communauté internationale seront tournés vers cette affaire alors qu’elle se déroule dans les semaines et les mois à venir.Pour plus d’informations et de détails sur cette affaire en cours, veuillez consulter site web.

  • Retrait de la Monusco : 20 ans après, le contingent pakistanais quitte la RDC

    Les Casques bleus Pakistanais de la Mission onusienne pour stabilisation en République démocratique du Congo (Monusco) ont débuté le processus de retrait de Kavumu, dans la province du Sud-Kivu, 20 ans après leur déploiement. Ce départ s’inscrit dans le cadre du plan de désengagement de la Monusco de la RDC, initié en début janvier 2024,… Retrait de la Monusco : 20 ans après, le contingent pakistanais quitte la RDC #sécurité

  • Madame Judith Tuluka, l'espoir de voir la RD Congo être Gouvernée autrement.

    Réforme et Espoir : L’avenir de la RDC sous la direction de Madame Judith Tuluka selon l'entrepreneur et l'homme politique Fanfan Mansiantima Ndefi. La République Démocratique du Congo se tient à l’aube d’une ère nouvelle, avec la nomination de Judith Tuluka comme première femme Première ministre. Son mandat s’annonce sous le signe de l’espoir et du changement, porté par une vision claire et des réformes audacieuses. Voici un aperçu des attentes et des propositions pour un gouvernement efficace et prospère selon notre approche. Une Vision Claire pour le Développement Madame Tuluka doit articuler une vision stratégique pour le développement du pays, en mettant l’accent sur la croissance économique, la stabilité politique et le bien-être social. Sa capacité à définir et à communiquer cette vision sera cruciale pour mobiliser le soutien du peuple et des institutions internationales. Rigueur et Transparence La rigueur dans la gestion des affaires publiques est impérative. Cela implique une gestion transparente des ressources et une lutte acharnée contre la corruption. La mise en place de protocoles de sélection rigoureux pour les conseillers des ministres est un pas vers la réduction du népotisme et l’assurance d’une administration compétente. Dans d’autres pays comme les Etats Unies, un certain nombre des conseillers doivent  être validés par le sénat avant de prester ; Cela démontre la rigueur et le rôle important qu’ils doivent  jouer dans l’exercice de leur fonction. Autorité et Compétence L’autorité de Madame Tuluka sur son gouvernement est essentielle. Elle doit s’entourer de ministres et de conseillers dotés de compétences techniques et d’une connaissance approfondie des dossiers, capables de répondre aux défis complexes du pays. Les conseillers experts des ministres doivent être franchement approuvés, sinon le risque de favoritisme et de népotisme dans la gestion des affaires serait élevé. Cela conduirait à une diminution du nombre d'experts compétents au sein du cabinet, laissant la place à des personnes proches telles que des amis, des membres de la famille, des cousins ou des gendres, ce qui affecterait inévitablement les performances. Ces pratiques sont préjudiciables à l'efficacité des ministères. Il est impératif d'établir un processus rigoureux de sélection des conseillers ministériels et de s'assurer qu'au moins 70% des postes soient occupés par des experts qualifiés. Cela garantirait une représentation solide lors de conférences internationales et de discussions avec les pays voisins. Culture du Résultat Le gouvernement doit développer une culture axée sur les résultats, avec des objectifs mesurables et une responsabilité claire. La fin de la guerre à l’est de la RDC reste une priorité absolue, nécessitant une approche coordonnée et résolue. Fusion des Ministères La fusion de certains ministères peut accélérer la prise de décision et améliorer l’efficacité. Des exemples incluent la combinaison des ministères des Finances et du Budget, ainsi que des Infrastructures et des Transports. Cette consolidation peut également contribuer à la réduction de la taille du gouvernement. Fonction Publique et Prestataires La fonction publique doit être valorisée, avec des agents compétents et bien rémunérés, pour assurer une administration efficace. Par ailleurs, la sécurité, l’entretien des infrastructures et le nettoyage des locaux pourraient être confiés à des prestataires externes, sous un contrôle strict et des exigences élevées. En conclusion, le mandat de Madame Tuluka représente une opportunité historique pour la RDC. Avec des réformes bien pensées et une gouvernance exemplaire, elle a le potentiel de transformer le pays et de réaliser les aspirations de ses citoyens. La réussite de son gouvernement dépendra de sa capacité à instaurer une culture de l’excellence et à répondre efficacement aux besoins de la nation. Fanfan Mansiantima Ndefi www.pressalert243.com

  • Assemblée nationale: Vital Kamerhe remporte la primaire de l’Union Sacrée pour la présidence du perchoir

    Il revient en force. Après une décennie et demie d’absence, Vital Kamerhe retrouve bientôt le perchoir de l’Assemblée nationale. Il a été élu mardi 23 avril 2024 lors des primaires de la famille politique au pouvoir, candidat unique de l’Union sacrée au perchoir en battant ses principaux concurrents Mboso et Bahati. Il revient en force. Après une décennie et demie d’absence, Vital Kamerhe retrouve bientôt le perchoir de l’Assemblée nationale. Il a été élu mardi 23 avril 2024 lors des primaires de la famille politique au pouvoir, candidat unique de l’Union sacrée au perchoir en battant ses principaux concurrents Mboso et Bahati. Avant d’être élu, Kamerhe avait adressé un message fort aux députés nationaux, leur promettant une nouvelle ère de transparence et d’engagement. Son discours a particulièrement porté sur la situation d’insécurité persistante dans l’est du pays, affirmant que le débat sur cette question devait redevenir public. Cette démarche vise à offrir aux populations du Nord, Sud-Kivu et de l’Ituri et d’autres régions la possibilité de suivre de près les discussions et les actions entreprises par leurs représentants. En plus de sa volonté de rendre le débat public, VK s’est également engagé à restaurer l’image ternie de la Chambre basse du Parlement en tant que le véritable temple de la démocratie. Il a souligné l’importance de renforcer le contrôle parlementaire pour garantir une gouvernance transparente et responsable. En réalité, cet exercice quoique démocratique, était un doigt d’honneur à Kamerhe qui méritait bien le perchoir sans être soumis à une quelconque compétition pré-électorale, d’autant plus qu’il est à la tête de la deuxième force politique de l’Union sacrée après l’Udps. Ainsi, même par voie des primaires, il ne faisait donc pas l’ombre d’aucun doute que VK allait écraser la concurrence car sa candidature bénéficiait du soutien de nombreux élus. – Kamerhe, victoire logique- Depuis Genève, il a soutenu Félix Tshisekedi en passant par Nairobi jusqu’aux dernières élections où il est le seul de trois à avoir véritablement mouillé le maillot. Il a battu campagne dans le Bandundu plus que Mboso qui se prévaut de son fief. Dans l’est, il a balisé la voie à Tshisekedi. Il était aux côtés du candidat n°20 dans toutes ses pérégrinations. Bahati s’était limité à la seule étape de Bukavu. Emprisonné puis blanchi par la justice et le chef de l’État lui-même, Kamerhe est resté loyal et prêt à servir son partenaire politique.

  • l'Union fait la force entre Modeste Bahati et Daniel Bumba Lubaki

    L’union fait la force à Kinshasa : Daniel Bumba Lubaki et Modeste Bahati Lukwebo s’engagent pour la stabilité et le progrès Kinshasa, la vibrante capitale de la République Démocratique du Congo, est au seuil d’une ère nouvelle de gouvernance et de développement. Dans les coulisses politiques, deux figures, Daniel Bumba Lubaki, candidat gouverneur de l’Union pour la Nation (USN), et Modeste Bahati Lukwebo, président de l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo-A (AFDC-A), ont récemment tenu une réunion stratégique qui pourrait bien définir l’avenir de la ville. Avec le soutien de six députés provinciaux, le président du sénat, Bahati Lukwebo, a exprimé son soutien indéfectible à Bumba Lubaki. Cette alliance politique est le fruit d’une vision partagée des défis imminents auxquels Kinshasa est confrontée. Selon des sources proches des deux personnalités, leur discussion a été marquée par un engagement commun à surmonter ces obstacles dans l’unité, l’ordre et la discipline. La majorité présidentielle, actuellement au pouvoir, semble reconnaître que c’est seulement à travers la cohésion et la collaboration que Kinshasa pourra naviguer avec succès vers un avenir prometteur. Bumba et Bahati sont unanimes : l’instabilité au sein des institutions provinciales n’est pas une option. Ils aspirent à servir les Kinois avec dévouement et à transformer Kinshasa en un modèle de prospérité urbaine. Cet échange entre Bumba Lubaki et Bahati Lukwebo n’est pas seulement symbolique ; il représente un engagement ferme envers les citoyens de Kinshasa. Leur partenariat suggère une ère de politique proactive où les promesses électorales se transforment en actions concrètes. Pour les Kinois, l’espoir d’une gouvernance stable et efficace est désormais à portée de main, promettant de relever les défis et de saisir les opportunités qui se présentent. En conclusion, la rencontre entre ces deux leaders politiques est un pas audacieux vers la réalisation d’une vision commune pour Kinshasa. Leur détermination à promouvoir l’ordre et la discipline au sein de la majorité présidentielle est un gage de leur engagement à bâtir une ville forte et unie. Les Kinois peuvent se réjouir de cette nouvelle dynamique qui, espérons-le, mènera à une transformation positive et durable de leur ville bien-aimée. [Issa Freiz K] www.pressalert243.com

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